Tant pis pour vous, l’événement a eu lieu ! Il faudra attendre un peu pour qu’il se reproduise… Ce n’est pourtant pas faute de vous avoir prévenu(e)(s) via la « nouillezes plus tard » du Saltimbhoucq ! Comment ça, vous n’y êtes pas encore inscrit(e)(s) ?… Mais, c’est que vous ratez pas mal d’événements, en tournant le dos à ce moyen de diffusion !

Je ne vous étonnerais guère en vous indiquant que vous auriez été bien inspiré(e)(s) d’y assister, parce que c’était sacrément bien.

Comme tout ce qui se fait au Prieuré ? Pas faux !… Pour cette toute première édition, nous avions eu la chance d’accueillir Inès Léraud qui, après avoir rencontré un franc succès avec « Les Algues vertes, l’histoire interdite » venait avec un nouvel opus tout aussi passionnant et aussi documenté que le précédent – « Champs de bataille, l’histoire enfouie du remembrement ». Il aurait presque fallu pousser les murs de notre vénérable et pluriséculaire bâtisse pour que tou(te)s les fans d’Inès puissent assister à l’échange avec le public que j’ai eu le plaisir d’animer.

Les autres invité(e)s de ce Salon n’ont pas démérité non plus. Nos deux ami(e)s de La Topette – le journal d’investigation du Maine-et-Loire – en tête ! Il et elle ont su faire partager leurs connaissances et leurs talents. Une belle réplique destinée à celles et ceux qui, au moins au niveau de la Région des Pays de Loire, ne sont pas à court d’idée pour torpiller la Culture. Voir à cet effet ma « petite humeur » sur le sujet, sur ce même site et sur le « pot de caste » de Radio G !…. Nicolas Jolivot avait également répondu présent. Il a contribué à l’animation de cette journée en jouant du pinceau, afin de dédicacer ses magnifiques ouvrages qui se sont arrachés comme des petits pains.

Et puis, sachez que Les Premières Mondiales étaient également de la fête, dans une formation inédite. Oui, Les Premières Mondiales, ça évolue et ça bouge sans arrêt ! Notre nouveau trio a eu plaisir à raconter l’histoire de Cucurbita de la Varenne, l’homme qui introduisit la courge en France… ou qu’il l’aurait fait, si jamais il avait existé ! Un aperçu de cette joyeuse dinguerie est disponible par ici. La suitéfin ? C’est très simple, vous nous contactez via ce site, et l’on vient chez vous pour vous narrer l’histoire au complet, plus quelques autres pour faire bon poids.

A bientôt au Prieuré, ou lors d’un spectacle !

Et un grand merci à Colombe Lecat-Warda pour les photos !