Étiquette : littérature contemporaine

Des poches sous les yeux n°7

Etat critique Des poches sous les yeux

Petit coup de pouce à deux bouquins lus récemment. Bon, lesdits bouquins n’ont pas besoin de mon aide pour se vendre, car ils sont déjà de vrais succès dans leur pays d’origine, l’Allemagne pour l’un, l’Italie pour l’autre. Et ne me dis pas, lecteur, lectrice : Décidément, tu lis toujours aussi peu de littérature franco-française, […]... Lire la suite

Des poches sous les yeux n°5

Etat critique Des poches sous les yeux

Commençons par une autrice suédoise dont j’ai déjà dit le plus grand bien, Maria Ernestam. C’était après avoir découvert son roman « Le peigne de Cléopâtre » (critique consultable sur ce site – Des poches sous les yeux n°3). Comme l’intrigue mêlant sujets graves et humour au vitriol m’avait plu, je me suis procuré d’autres titres. Notamment, […]... Lire la suite

Des poches sous les yeux (n°6)

Etat critique Des poches sous les yeux chronique radiophonique

Aujourd’hui, j’ai pensé à celles et ceux qui, non seulement, s’y prennent au dernier moment pour acheter leurs cadeaux de Noël, mais aussi ne disposent que d’un budget limité pour leurs emplettes. Et comme l’inflation n’arrange rien, n’est-ce pas ?… Heureusement qu’il existe, pour ces retardataires peu fortuné(e)s, la rubrique « Des poches sous les yeux » du […]... Lire la suite

Des poches sous les yeux (4)

Etat critique Des poches sous les yeux

Eh oui, je dors toujours aussi mal, et je reviens par conséquent avec encore des poches sous les yeux !…L’insomnie et moi formons un couple solide. Mais cet attachement ne présente pas que des inconvénients, puisque cela me permet de bouquiner pendant que toi, lecteur, lectrice, tu dors du sommeil du juste, … Lire et lire […]... Lire la suite

Des poches sous les yeux (3)

Etat critique Des poches sous les yeux

Je débarque aujourd’hui sur le site, avec des poches sous les yeux. Il faut dire qu’à monter la garde, la nuit, auprès de ma poubelle (voir à ce propos, mon précédent billet d’humeur), mon sommeil n’est guère réparateur. Le point positif, c’est qu’à la lueur de ma lampe frontale, sur le bord du trottoir, emmitouflé […]... Lire la suite